Un peu découragé en lisant l'article de Etienne Fortin-Gauthier paru sur Technaute.cyberpresse.ca. Une femme de Granby, en congé de maladie pour dépression c'est vu couper ses prestations hebdomadaires en raison de ses photos sur Facebook. Les photos semblaient trop joyeuses... Comment un bureaucrate à la con peut-il juger l'état psychologique de quelqu'un via des photos sur Facebook. Si je comprends bien, quelqu'un en congé de maladie pour dépression doit obligatoirement mettre des photos de personnes dépressives (pleurant ou sur le bord de vouloir se trancher les veines!).
On est loin d'une fraude, où le requérant est en congé pour torsion lombaire et qui décide de refaire son patio, transportant des pierres de 100lbs chacune avec une "bière frette" un mercredi ensoleillé du mois de juillet..
Ce qui nous amène à la conclusion, que nos chers employés de cies d'assurances vont maintenant naviguer sur Facebook, Twitter, et autres sociaux durant les heures de travail. Est-ce que quelqu'un vérifie si ces employés n'utilisent pas ce temps de travail pour ajouter quelques textes sur leurs comptes persos.... Faudrait peut-être vérifier, ... car le prix des assurances ne cessent de grimper. Ce jeu peut se jouer dans les 2 sens...
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