Ne pas avoir découvert le vélo à 15 ans, je ne serai plus là aujourd'hui. C'est par lui, que j'ai évacué toutes mes frustrations, peines et autres trucs chiant que j'avais en moi. Le vélo, comme tout les autres sports d'endurance, te permet de générer de l'endorphine, de la sérotonine, etc.. Qui pour un gars comme moi, sont les sources premières d'un certain équilibre. Lorsque je diminue ma quantité de vélo, une partie de cet équilibre dégringole. J'ai passé plus de temps avec des vélos, que quiconque. Peut paraître débile (en fait, c'est débile), mais le vélo est pour moi la plus grande des thérapies. Pour cette raison que je n'hésite pas à utiliser celui-ci toute l'année durant, même à -20 comme vendredi dernier. Quand le besoin se fait sentir....
Pour vous évadez vous aussi :
La photo sur le bord de mer, celles dans les montagnes, etc..
lu dans l'Encyclopédie absurde de la bicyclette :
RépondreEffaceraccro du vélo : se dit d'un cycliste vacciné avec un rayon de bicyclette, ayant été huit jours sans faire de vélo, dont le manque survient, le caractère devient désagréable et le sphincter se relâche. Il se laisse alors aller. L'ariègeoise de cousine de Jean-Jacques Balagué* du Pinesagouël Cyclo Club* dirait qu'il a le cuissard « farnouse », c'est à dire, plutôt jaune devant et marron derrière. Dans le peloton, on dit qui a la chiasse, perd sa place. Et Dominique de Villepin pense qu'il est accro de boucher !. Quand à Roseline Bachelot, avec ses 33 millions de boîtes de Tamiflu périmées et ces 90 millions de vaccins contre la grippe A sur le dos, elle reste droite dans ses pompes fuschia à Crocs.
(la suite sur demande à multinotesdistribution@gmail.com )