En ce beau dimanche, dernière journée de vacances (Semaine de relâche scolaire). Matinée de ménage, Grenouille (Ma fille) est un peu grippé. Juju Laterreur (Mon fils) est de bonne humeur, joue de la Guétare à fond la caisse avec son nouvel amplificateur. MMR, ma cycliste préférée vient faire un tour à la maison. Nous nous sommes pas vu depuis près de 18 mois.
Au programme, s'exploser au Karting avec une petite sortie de 15 minutes. Ensuite direction l'aréna pour voir jouer le fils du philosophe Louis. Le match débute (série éliminatoire!), en moins de 2 secondes je suis dans le match et hurle comme un déchaîné. J'adore voir le sport amateur. La fièreté des jeunes portant l'uniforme du club de leur quartier. Un beau spectacle. Mais en même temps, je suis content que mon fils demeure encore dans des sports plus familiaux (Ski, snowboard, hockey à la patinoire du quartier, etc...). J'imagine que celui-ci souffrirait d'avoir un père aussi exhubérant face à ses exploits sportifs. J'ai la compétition dans le sang. Je ne veux pas que mon fils se sente obligé de performer, comme moi je l'ai été. Cet été, il veut faire de la compétition de vélo (Il m'a vu dans plusieurs compétitions avant ma retraite). Je suis heureux de voir qu'il prenne l'initiative de faire la compétition et que l'idée ne vienne pas de moi. Je vais l'appuyer, l'encourager à 100%, mais sans mettre de pression aucune (ou du moins je vais faire de mon mieux). En gros, faire la même chose que le philosophe Louis et son épouse effectuent avec leurs enfants face au hockey. Etre des parents admiratifs et heureux de voir que leur enfants s'épanouissent.
Comme je le dis souvent, avoir des enfants est en grosse partie un don de soit. Mais le plus beau des dons. Maudit que je suis fier de mes 2 huluberlus. Vendredi soir, Grenouille et Juju m'ont dit comment il m'aimait lorsque j'étais con. J'en étais ému. S'émouvoir parce que tes enfants, te traitent de con... Hé oui, car dans leur langage, ça signifiais qu'ils aimaient que je puisse décrocher du monde adulte pour rigoler avec eux, au même niveau qu'eux. Que le petit côté ado que je garde précieusement, étais aussi précieux à leur yeux.
Vraiment du coq à l'âne.... Après la première période, nous quittons. Car moi, Juju et MMR n'avons pas encore manger, et il est 16h00. Bientôt l'heure de l'autre repas. Nous effectuons un 2 repas pour le prix d'un!!!!, en se dirigeant chez Arahova à Outremont. Nous décidons d'un commun accord, que nous allons puer l'ail en gang (Remarque que nous fera Grenouille à notre arrivée à la maison!!!)
De retour à la maison, nous allons en promenade avec Léon (Mon bouvier bernois). Direction club vidéo. Nous y allons pour 2 films :
1. L'ile au trésor avec Gugnot. Vraiment anodin et sans aucun intérêt. Pour ne pas dire pourri.
2. Vicky Cristina Barcelona. Que j'ai adoré. Film de Woody Allen (2008) avec une méchante belle fourchette d'acteurs : Scarlett Johansson, Rebecca Hall, Penélope Cruz, Javier Bardem, Patricia Clarkson. Un film comme j'aime. Pas trop lent, pas trop vite. Histoire intéressante sans être trop compliqué. Des acteurs avec un jeu crédible. Un petit bonheur. Pas un grand film, mais un véritable petit bonheur. Sans vous vendre le ou les punchs, disons que l'histoire commence de façon peu banale (ça demeure un film de W.Allen!!!) : Un artiste peintre (beau bonhomme de sa personne...) propose à deux belles touristes américaines, de venir passer un week-end à Oviedo, pour passer du bon temps ensemble, et éventuellement faire l'amour. Les deux touristes n'approchent pas le weekend de la même façon. Voilà, pour le reste je vous laisse la surprise.
Au programme, s'exploser au Karting avec une petite sortie de 15 minutes. Ensuite direction l'aréna pour voir jouer le fils du philosophe Louis. Le match débute (série éliminatoire!), en moins de 2 secondes je suis dans le match et hurle comme un déchaîné. J'adore voir le sport amateur. La fièreté des jeunes portant l'uniforme du club de leur quartier. Un beau spectacle. Mais en même temps, je suis content que mon fils demeure encore dans des sports plus familiaux (Ski, snowboard, hockey à la patinoire du quartier, etc...). J'imagine que celui-ci souffrirait d'avoir un père aussi exhubérant face à ses exploits sportifs. J'ai la compétition dans le sang. Je ne veux pas que mon fils se sente obligé de performer, comme moi je l'ai été. Cet été, il veut faire de la compétition de vélo (Il m'a vu dans plusieurs compétitions avant ma retraite). Je suis heureux de voir qu'il prenne l'initiative de faire la compétition et que l'idée ne vienne pas de moi. Je vais l'appuyer, l'encourager à 100%, mais sans mettre de pression aucune (ou du moins je vais faire de mon mieux). En gros, faire la même chose que le philosophe Louis et son épouse effectuent avec leurs enfants face au hockey. Etre des parents admiratifs et heureux de voir que leur enfants s'épanouissent.
Comme je le dis souvent, avoir des enfants est en grosse partie un don de soit. Mais le plus beau des dons. Maudit que je suis fier de mes 2 huluberlus. Vendredi soir, Grenouille et Juju m'ont dit comment il m'aimait lorsque j'étais con. J'en étais ému. S'émouvoir parce que tes enfants, te traitent de con... Hé oui, car dans leur langage, ça signifiais qu'ils aimaient que je puisse décrocher du monde adulte pour rigoler avec eux, au même niveau qu'eux. Que le petit côté ado que je garde précieusement, étais aussi précieux à leur yeux.
Vraiment du coq à l'âne.... Après la première période, nous quittons. Car moi, Juju et MMR n'avons pas encore manger, et il est 16h00. Bientôt l'heure de l'autre repas. Nous effectuons un 2 repas pour le prix d'un!!!!, en se dirigeant chez Arahova à Outremont. Nous décidons d'un commun accord, que nous allons puer l'ail en gang (Remarque que nous fera Grenouille à notre arrivée à la maison!!!)
De retour à la maison, nous allons en promenade avec Léon (Mon bouvier bernois). Direction club vidéo. Nous y allons pour 2 films :
1. L'ile au trésor avec Gugnot. Vraiment anodin et sans aucun intérêt. Pour ne pas dire pourri.
2. Vicky Cristina Barcelona. Que j'ai adoré. Film de Woody Allen (2008) avec une méchante belle fourchette d'acteurs : Scarlett Johansson, Rebecca Hall, Penélope Cruz, Javier Bardem, Patricia Clarkson. Un film comme j'aime. Pas trop lent, pas trop vite. Histoire intéressante sans être trop compliqué. Des acteurs avec un jeu crédible. Un petit bonheur. Pas un grand film, mais un véritable petit bonheur. Sans vous vendre le ou les punchs, disons que l'histoire commence de façon peu banale (ça demeure un film de W.Allen!!!) : Un artiste peintre (beau bonhomme de sa personne...) propose à deux belles touristes américaines, de venir passer un week-end à Oviedo, pour passer du bon temps ensemble, et éventuellement faire l'amour. Les deux touristes n'approchent pas le weekend de la même façon. Voilà, pour le reste je vous laisse la surprise.
Une belle journée qui finit bien une semaine de vacances. Demain, déjeuner, boulot, activité avec Juju et dodo.
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